Royaume de Gaule
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Message par Administrateur Jeu 27 Sep 2007 - 17:04

ATTENTION A PARTIR DU 5 MARS 2008 LE FORUM ROYAUME DE GAULE EST PRIVE.
INUTILE DE S'INSCRIRE.

Chers membres,
J'aimerais que chaque membre écrive un seul message
Du plus ancien au plus jeune membre inscrit sur le forum, ce qui permettra d'avoir une vue d'ensemble de tous les membres très actifs du Royaume de Gaule avec son pseudo, avatar, titre, signature, etc...
Indication pour les invités, la croix dans la signature des membres est une distinction décernée aux meilleurs posteurs de sujets du forum. (sans les membres de la direction)
Chaque membre a été avertis par MP/Mail.
Exemple de présentation:
Présentation de mon pseudo:
Lothaire Ier, fils de Louis Ier dit le Pieux, empereur d'Occident, roi des Francs, roi des Lombards etc...
Avertissement:
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Les membres qui aurons moins de 20 messages en 6 mois depuis leur inscription seront effacés du sujet "Liste des membres actifs".
Inutile de mettre un message dans ce sujet si vous n'avez pas l'intention d'être un membre très actif du forum "Royaume de Gaule".


Dernière édition par Administrateur le Dim 16 Mar 2008 - 14:05, édité 6 fois
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Message par Jules César Jeu 27 Sep 2007 - 17:22

Jules César (latin : CAIVS•IVLIVS•CAESAR•IV à sa naissance, IMPERATOR•CAIVS•IULIUS•CAESAR•DIVVS• à sa mort) est un général, homme politique et écrivain romain, né à Rome vers 100 av. J.-C. et mort le 15 mars 44 av. J.-C. (aux Ides de Mars).

Son destin exceptionnel marqua le monde romain : ambitieux et brillant, il s’appuya sur le courant réformateur et démagogue pour son ascension politique ; stratège et tacticien habile, il repoussa les frontières romaines jusqu’au Rhin et à l’océan Atlantique en conquérant la Gaule puis utilisa ses légions pour s’emparer du pouvoir. Il se fit nommer dictateur à vie, et fut assassiné peu après par une conspiration de sénateurs. Il fut divinisé et son fils adoptif Octave, vainqueur de Marc-Antoine acheva la réforme de la République romaine, qui laissa place au principat et à l’Empire romain.
Origine :
César affirmait avoir pour ancêtre Iule (ou Ascagne), fils d’Énée et de Créüse, amené en Italie par son père après la chute de Troie. Ce fondateur d’Albe-la-Longue était considéré comme le créateur de la vieille famille des Julii, qui selon l’empereur Claude se joignit ensuite aux patriciens de Rome. Par ce lignage, César revendiqua lorsqu’il prononça l’éloge funèbre de sa tante Julia une ascendance remontant à Vénus.

Les Julii historiquement connus furent une famille patricienne d'importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie au Ier siècle av. J.C. de la cinquantaine de familles de la nobilitas qui fournissaient la plupart des consuls. Les Julii connurent des revers de fortune, et Jules César grandit dans une maison assez modeste du bas quartier de Subure, de mauvaise réputation.

Caius Julius César, le futur Jules César, naît vers 100 av. J.-C., fils de Caius et de Aurelia Cotta, également d’origine patricienne. Malgré les sources historiques, la date précise de cette naissance reste incertaine : le 12 juillet ou le 13 juillet 100 av. J.-C. ou 102 av. J.-C.
Selon Tacite, en mêlant dévouement maternel et ferme discipline, sa mère Aurelia donne à Caius et ses deux sœurs Julia une éducation exemplaire. Cicéron attribuera à cette éducation familiale et à des études assidues l’élégance du latin de César et la qualité de son éloquence. Plutarque et Suétone souligneront aussi son art des relations en société tout au long de sa vie : amabilité et politesse envers ses hôtes, prodigalité sans retenue, savoir-vivre et bonne tenue dans les banquets (Caton qui pourtant le déteste lui accorde qu’il est le seul ambitieux qui ne s’enivre pas), conversation brillante et cultivée. Ces qualités de séduction seront ses premiers atouts dans la vie publique romaine.

Son père Caius ne dépasse pas dans sa carrière politique le rang de préteur en 92 av. J.C., et décède subitement un matin en mettant ses chaussures, César est alors âgé de quinze ans. Son oncle Sextus Julius Caesar III obtient le consulat en 91 av. J.C. mais meurt au siège d’Asculum lors de la Guerre sociale.
Source Wikipédia
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Message par Vercingétorix Jeu 27 Sep 2007 - 17:32

Exemple autorisé de ce que vous pouvez mettre dans votre présentation.
Vercingétorix (-72 à -46) est le fils du chef gaulois de la tribu des Arvernes, Celtillos. Il fédère des peuples gaulois et leurs chefs pour tenter de rejeter l'envahisseur romain, Jules César, hors des frontières, à la fin de la Guerre des Gaules (-58 à -51). Vercingétorix est historiquement et symboliquement un des premiers chefs à avoir fédéré une partie importante des peuples Gaulois.

Les documents historiques qui témoignent de sa vie sont peu nombreux et sujets à caution. Ce sont tous des écrits de Romains qu'il a combattus. Vercingétorix est connu en majeure partie par les commentaires de Jules César, qu'il rédige tout au long de ses campagnes et rassemble après sa victoire d'Alésia, à Bibracte, sur le Mont Beuvray, où il passe l'hiver.
Biographie

Né à une date inconnue près du village gaulois de Nemossos (Clermont-Ferrand en Auvergne), il est le fils de Celtillos, roi des Arvernes (en actuelle Auvergne), un des plus puissants peuples gaulois traditionnellement opposés à Rome.

À cette époque la Gaule cisalpine et la Narbonnaise sont romaines, l'Aquitaine, la Belgique et la Celtique (catégorisation gréco-romaine complètement étrangère aux diverses nations gauloises) sont les territoires de peuples gaulois d'importance diverse et non soumis à l'autorité de Rome. Les Helvètes devaient jouer un rôle déterminant dans le commencement de la Guerre des Gaules en entamant une migration ("forcée" par la pression germanique croissante) vers la Saintonge après avoir brûlé leurs terres, sous le roi Orgétorix.


Dernière édition par Vercingétorix le Jeu 4 Juin 2009 - 18:55, édité 1 fois
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Message par Néron Jeu 27 Sep 2007 - 18:16

Néron (latin : IMPERATOR•NERO•CLAVDIVS•CAESAR•AVGVSTVS•GERMANICVS), né Lucius Domitius Ahenobarbus le 15 décembre 37 et mort le 6 juin 68, est le cinquième et dernier empereur romain de la dynastie julio-claudienne, il règna de 54 à 68.

Néron accède au trône le 13 octobre 54, à la mort de son grand-oncle et père adoptif Claude (Claudius), Empereur de Rome. En 66, il ajouta le titre Imperator à son nom. Il fut dépossédé de son pouvoir en 68 et se suicida assisté de son scribe Epaphroditos.

Les historiens débattent encore aujourd'hui de la folie supposée de Néron.
Les premières années de l'empereur :
Claude mourut empoisonné le 13 octobre 54 et Néron fut rapidement nommé empereur à sa place. Il n'avait que 17 ans. Les historiens s'accordent à considérer que Sénèque a joué le rôle de figure de proue au début de son règne. Les décisions importantes étaient probablement laissées entre les mains plus capables de sa mère Agrippine la Jeune (qui pourrait avoir empoisonné Claude elle-même), de son tuteur Sénèque, et du préfet du prétoire Sextus Afranius Burrus. Néron cherche dès le début son règne à obtenir les faveurs de l'armée et de la plèbe par diverses primes.

Les cinq premières années du règne de Néron furent connues comme des exemples de bonne administration, suscitant même l'émission d'une série de pièces de monnaie célébrant le quinquennium Neronis.

Les affaires de l'empire étaient traitées avec efficacité et le Sénat bénéficiait d'une période d'influence renouvelée dans les affaires de l'État. Les problèmes devaient pourtant bientôt surgir de la vie personnelle de Néron et de la course à l'influence croissante entre Agrippine et les deux conseillers. Tout le monde savait que Néron était déçu de son mariage et trompait Octavie. Il prit pour maîtresse Claudia Acte, une ancienne esclave, en 55. Agrippine tenta d'intervenir en faveur d'Octavie et exigea de son fils le renvoi d'Acte. Burrus et Sénèque, pour leur part, choisirent de soutenir leur protégé.

Néron résista à l'intervention de sa mère dans ses affaires personnelles. Son influence sur son fils diminuant, Agrippine se tourna vers un candidat au trône plus jeune. Britannicus, à quinze ans, était toujours légalement mineur et sous la responsabilité de Néron, mais il approchait de l'âge de la majorité. Britannicus était un successeur possible de Néron et établir son influence sur lui pouvait renforcer la position d'Agrippine. Mais le jeune homme mourut brutalement le 12 février 55. La proclamation de sa majorité avait été prévue pour le 13 février. La coïncidence des dates laisse penser qu'il a été empoisonné. Burrus est suspecté d'avoir pris part au meurtre. Néron se révoltait de plus en plus contre l'emprise d'Agrippine, et il commençait à envisager le meurtre de sa propre mère. Il justifiait ses intentions en clamant qu'elle complotait contre lui. Le pouvoir d'Agrippine déclinait encore rapidement, tandis que Burrus et Sénèque devenaient les deux hommes les plus influents de Rome.
Source Wikipédia
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Message par Charlemagne Jeu 27 Sep 2007 - 18:27

Charles Ier dit Charles le Grand (en latin Carolus Magnus, en français Charlemagne, en allemand Karl der Große) est vraisemblablement né le 2 avril 742, sans certitude quant au lieu, voir ci-dessous date et lieu de naissance. Il est mort à Aix-la-Chapelle (Aachen, en Allemagne), le 28 janvier 814.

Il fut roi des Francs (768-814), devint par conquête roi des Lombards (774-814) et fut couronné empereur d’Occident par le pape le 25 décembre 800, relevant une dignité prestigieuse disparue depuis l'an 476.

Monarque guerrier, il agrandit notablement son royaume par une série de campagnes successives, en particulier par la lente mais violente soumission des Saxons païens (772-804). Souverain réformateur, soucieux d'orthodoxie religieuse et de culture, il protégea les arts et les lettres, et initia dans son vaste empire le brillant mouvement ultérieurement qualifié de renaissance carolingienne.

Son œuvre politique immédiate ne lui survécut pas longtemps. L'empire fut partagé entre ses trois petits-fils dès le traité de Verdun en 843. Le morcellement féodal des siècles suivants, puis la division de l'Europe en États-Nations rivaux condamnèrent à l'impuissance ceux qui tentèrent explicitement de restaurer l'empire universel de Charlemagne, en particulier les souverains du Saint-Empire romain germanique, de Otton Ier en 952 à Charles Quint au XVIe siècle, ou encore Napoléon Ier, hanté par l'exemple du plus éminent des Carolingiens.

Pourtant, Charlemagne peut être considéré comme le « Père de l'Europe » avant l’heure. Il en a assuré le regroupement d'une partie notable.
Source Wikipédia
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Message par Cléopatre Jeu 27 Sep 2007 - 18:32

En réalité, mon nom est Cléopâtre VII.
Cléopâtre VII Théa Philopator (en grec, Κλεοπάτρα Φιλοπάτωρ) (v. -69 / 12 août -30) est une reine d'Égypte antique de la famille des Lagides qui gouverne son pays entre -51 et -30, successivement avec ses frères et époux Ptolémée XIII et Ptolémée XIV puis avec le général romain Marc Antoine. Elle est connue pour ses relations avec Jules César et Marc Antoine.

Cléopâtre est un personnage dont la légende s'est emparée, de son vivant même, et le tragique de sa mort n'a fait que renforcer la tendance au romanesque qui entoure le personnage et qui parfois gêne l'historien dans une approche objective de cette reine d'Égypte, sans doute la femme la plus célèbre de l'Antiquité.

Nous disposons de peu de sources et les principales, Plutarque, Suétone et Appien, n'évoquent Cléopâtre que pour autant qu'elle prenne place dans l'histoire romaine. C'est ainsi que nous ne savons pratiquement rien de ce qu'elle fait à Rome aux lendemains de l'assassinat de César, ni à Alexandrie durant l'absence de Marc Antoine entre -40 et -37.

De plus l'historiographie antique lui est globalement défavorable car inspirée par le vainqueur de Cléopâtre, l'empereur Auguste et son entourage dont l'intérêt est de noircir la reine afin d'en faire l'adversaire malfaisant de Rome et le mauvais génie de Marc Antoine. Ainsi ce jugement de l'historien du Ier siècle, Flavius Josèphe : « Elle fit d'Antoine l'ennemi de sa patrie par la corruption de ses charmes amoureux ». Cela explique la prudence des historiens actuels et l'enthousiasme des cinéastes ou romanciers pour un tel personnage...
Source Wikipédia
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Message par Richard Coeur de Lion Jeu 27 Sep 2007 - 18:35

Richard Ier d'Angleterre dit Cœur de Lion (8 septembre 1157, palais de Beaumont, Oxford – 6 avril 1199, Châlus, Haute-Vienne). De 1189 à 1199, il fut roi d'Angleterre, duc de Normandie, duc d'Aquitaine, comte du Maine et comte d'Anjou.

Fils d'Henri II d'Angleterre et d'Aliénor d'Aquitaine, Richard est élevé en France à la cour de sa mère, ce qui lui vaut dans sa jeunesse le surnom de Poitevin. Il devient comte de Poitiers et duc d’Aquitaine à onze ans. Après la mort de son frère aîné, il devient héritier de la couronne d’Angleterre, mais aussi de l’Anjou, de la Normandie et du Maine. (Voir l'article Richard Cœur de Lion, ascendance sur trois degrés).

Pendant son règne qui dure une dizaine d'années, il ne séjourne seulement que quelques mois dans le royaume d'Angleterre. Il utilise toutes ses ressources pour partir à la troisième croisade, puis pour défendre ses territoires français contre le roi de France, Philippe Auguste, auquel il s’était pourtant auparavant allié contre son propre père. Ces territoires, pour lesquels il a prêté allégeance au roi Philippe, constituent la plus grande partie de son héritage Plantagenêt.

Avant de devenir roi d’Angleterre, Richard est avant tout un prince du continent, essentiellement désireux d’entrer dans la légende par de hauts faits d’armes.

Les Anglais l'appellent : Richard Ier, les Français: Richard Cœur de Lion, ou Òc e Non (pour sa capacité à changer rapidement d’humeur, òc signifiant « oui » en occitan limousin, sa langue natale) et les Sarrasins : Melek-Ric ou Malek al-Inkitar (roi d'Angleterre). En arabe, son nom est utilisé pour effrayer les enfants : « Le roi Richard viendra te chercher si tu ne fais pas attention ! ». En son temps, il est considéré comme un héros, et est souvent décrit comme tel dans la littérature. C'est aussi un poète et un écrivain célèbre à son époque, notamment pour ses compositions en langue limousine.

Il est le père d'un enfant naturel : Philippe de Cognac.
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Message par Hannibal Jeu 27 Sep 2007 - 18:38

Hannibal Barca, généralement appelé Hannibal, né en 247 et suicidé en 183 en Bithynie (près de l’actuelle Bursa), est un général et homme politique carthaginois généralement considéré comme l’un des plus grands tacticiens militaires de l’Histoire.

Il grandit durant une période de tension dans le bassin méditerranéen alors que Rome tente d’établir sa suprématie sur d’autres puissances comme Carthage, la Macédoine, Syracuse et l’empire séleucide. Le principal exploit qu’on lui reconnaît a lieu durant la Deuxième Guerre punique : il quitte alors l’Ibérie avec son armée et traverse les Pyrénées puis les Alpes pour gagner le nord de l’Italie. Durant son invasion de l’Italie, il défait les armées romaines dans une série de batailles restées célèbres. Pourtant, il ne parvient pas à prendre Rome. Selon certains historiens, Hannibal ne possédait pas le matériel nécessaire à l’attaque et au siège de la ville. Pour J. F. Lazenby, ce ne serait pas le manque d'équipement mais le manque de ravitaillement et son propre agenda politique qui empêchèrent Hannibal d’attaquer la cité. Il réussit néanmoins à maintenir une armée en Italie durant plus d’une décennie sans parvenir à faire accepter ses conditions aux Romains. Une contre-attaque de ces derniers le force à retourner à Carthage où il est finalement défait à la bataille de Zama. Après la guerre, il accède au poste de suffète mais ses réformes politiques et financières – nécessaires pour le paiement de l’indemnité de guerre imposée par Rome – sont impopulaires parmi les membres de la classe dirigeante qui le contraignent, avec l’appui des Romains, à l’exil. Durant celui-ci, il vit à la cour de l’empire séleucide où il est conseiller militaire du roi Antiochos III dans sa guerre contre Rome. Après la défaite séleucide, Hannibal fuit à nouveau en Arménie où il planifie la construction de la nouvelle capitale. Sa fuite se termine à la cour de Bithynie où il est finalement dénoncé aux Romains.
Hannibal est universellement classé parmi les plus grands commandants et tacticiens militaires de l’Histoire. L'historien militaire Theodore Ayrault Dodge lui donna le surnom de « père de la stratégie » car son plus grand ennemi, Rome, adopta par la suite des éléments de sa tactique militaire dans son propre arsenal stratégique.

Cet héritage lui a conféré une forte réputation dans le monde contemporain et il fut regardé comme un grand stratège par des hommes comme Napoléon Bonaparte et le duc de Wellington. Sa vie a ensuite servi de trame à de nombreux films et documentaires.
Source Wikipédia
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Message par Louis II Ven 28 Sep 2007 - 9:01

Ludwig Otto Frederik Wilhelm von Wittelsbach (1845-1886) fut roi de Bavière de 1864 à 1886 sous le nom de Louis II. Fou pour certains, génial pour d'autres, il reste dans l'histoire comme le protecteur des arts et un bâtisseur de châteaux extraordinaires.
Louis II de Bavière est né le 25 août 1845 à Nymphenburg près de Munich.
Il est le fils du roi Maximilien II de Bavière (1811-1864) à qui il succède, et de Frédérique Françoise Auguste Marie Hedwige de Prusse (1825-1889), dite Marie de Prusse.
Il est aussi le cousin germain d'Élisabeth de Wittelsbach impératrice d'Autriche, plus connue sous le surnom de Sissi.
Son règne politique :
Louis II accède au trône à l'âge de 19 ans. Les Bavarois accueillent avec liesse ce jeune roi à la beauté fascinante.
Dès le début de son règne, il a la tâche de gérer la politique audacieuse de Bismarck. Son chancelier Ludwig van der Pfordten range la Bavière aux côtés de l'Autriche en 1866.
Mais la bataille de Sadowa en 1866, puis la défaite française de 1870 vont achever l'intégration de son royaume à l'Allemagne naissante. Il appelle alors Hohenlohe-Schillingsfürst à la chancellerie ; celui-ci mène une politique pro-prussienne et la Bavière se rangea aux côtés de la Prusse pendant la guerre de 1870.
A la demande du chancelier prussien Bismarck, il signe la lettre proposant au roi de Prusse la couronne impériale en décembre 1870.
Les gouvernements cherchèrent alors de plus en plus à l'évincer du pouvoir et à préparer un coup d'Etat.
Déposé par un coup d'État du gouvernement en 1886.
Il est déclaré fou, son cousin Luitpold de Wittelsbach est nommé régent le 10 juin 1886.
Les fiançailles rompues :
Il se fiance avec sa cousine la princesse Sophie de Bavière (1847-1897), duchesse en Bavière (sœur d'Élisabeth, dite « Sissi » (immortalisée à l'écran par Romy Schneider), impératrice d'Autriche et reine de Hongrie et de Bohême). Leurs fiançailles sont officialisées le 22 janvier 1867 mais le mariage est reporté à plusieurs reprises. Sophie se maria plus tard avec Ferdinand Philippe Marie d'Orléans (1844-1910), duc d'Alençon, fils de Louis Charles Philippe Raphael d'Orléans, duc de Nemours, et petit-fils de Louis-Philippe Ier.
Son règne artistique :
Il est l'admirateur et le mécène de Richard Wagner, notamment en finançant le Palais des festivals de Bayreuth (Festspielhaus) permettant ainsi le développement et l'hégémonie de la culture germanique. Influencé par Wagner, il fait construire de superbes châteaux de styles éclectiques, et dont l'influence mondiale demeure perceptible de nos jours, aux pieds des Alpes bavaroises dont le plus célèbre est château de Neuschwanstein, qui ne fut terminé que plusieurs années après sa mort.
Il est considéré par Verlaine comme le « seul grand roi » de ce siècle.
La mort du roi :
Après avoir été déclaré fou en juin 1886, Louis II est interné au château de Berg, au sud de Munich, où il décède trois jours plus tard, ainsi que son médecin Bernhard von Gudden (un psychiatre réputé), dans des circonstances jamais élucidées : leurs corps sont retrouvés dans le lac de Starnberg, à proximité de la berge. Officiellement, le roi s'est suicidé après avoir étranglé son médecin ; cependant, l'hypothèse de l'assassinat ou de la tentative d'évasion ont été évoqués.
Louis II de Bavière fut inhumé en l'église Saint-Michael à Munich. Une cérémonie se tient chaque année le 13 juin dans la petite chapelle bâtie à cet endroit.
Son successeur est le roi Othon Ier de Bavière.
Les châteaux :
Herrenchiemsee commencé en 1878, inachevé, que le roi avait voulu à l'égal de Versailles et qui est implanté sur une île au milieu du Chiemsee entre Munich et Salzbourg.
Le château de Linderhof, construit de 1869 à 1879 avec dans les jardins, le pavillon mauresque acquis par le roi à l’exposition universelle de Paris et la grotte de Vénus qui évoque Tannhäuser, l'opéra de Richard Wagner.
Château de Neuschwanstein, construit près de celui de son père : château de Hohenschwangau, de 1869 et terminé après la mort du roi en 1891.
Pavillon de chasse à Schachen (1871), au-dessus de Garmisch-Partenkirchen.
Louis laissa une grande collection de plans et de dessins pour d'autres châteaux dont la construction fut envisagée.
Source Wikipédia
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Message par Napoléon 1er Ven 28 Sep 2007 - 9:32

Napoléon Bonaparte né Napoleone Buonaparte le 15 août 1769 à Ajaccio, en Corse mort le 5 mai 1821 sur l'île Sainte-Hélène fut général, Premier consul, puis Empereur des Français.
Objet dès son vivant d'une légende noire comme d'une légende dorée, il a acquis une notoriété aujourd'hui universelle pour son génie militaire et politique, mais aussi pour son régime autoritaire, et pour ses incessantes campagnes souvent coûteuses, soldées par de graves défaites finales en Russie et à Waterloo et par sa mort en exil à Sainte-Hélène sous la garde des Anglais.
Général de la Révolution française à 24 ans, il accumule les victoires spectaculaires en Italie et pendant la campagne d'Égypte, puis prend le pouvoir par le coup d'État du 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799).
Il dirige la France à partir de la fin de l’année 1799 ; il est d'abord Premier consul du 10 novembre 1799 au 18 mai 1804 puis Empereur des Français, sous le nom de Napoléon Ier, du 18 mai 1804 au 11 avril 1814, puis du 20 mars au 22 juin 1815. Il réorganise et réforme durablement l'État et la société. Il porte le territoire français à son extension maximale avec près de 130 départements, transformant Rome, Hambourg ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie du 17 mars 1805 au 11 avril 1814, mais encore médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Il conquiert et gouverne la majeure partie de l’Europe continentale et place les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes européens : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Jérôme sur celui de Westphalie, Louis sur celui de Hollande et son beau-frère Joachim Murat à Naples. Il crée aussi un grand-duché de Varsovie, sans oser restaurer formellement l'indépendance polonaise, et soumet à son influence des puissances vaincues telles que la Prusse et l'Autriche.
Napoléon tenta de mettre un terme à son profit à la série de guerres que menaient les monarchies européennes contre la France depuis 1792. Il conduit les hommes de la Grande Armée, dont ses fidèles « grognards », du Nil et de l'Andalousie jusqu'à la ville de Moscou. Comme le note l'historien britannique Eric Hobsbawm, aucune armée n'était allée aussi loin depuis les Vikings ou les Mongols. Malgré de nombreuses victoires initiales face aux diverses coalitions montées et financées par la Grande-Bretagne. (devenue le Royaume-Uni en 1801)
L’épopée impériale prend fin en 1815 avec la défaite de Waterloo.
Source Wikipédia
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Message par Alexandre le Grand Ven 28 Sep 2007 - 10:30

Alexandre le Grand ou Alexandre III de Macédoine (en grec ancien Ἀλέξανδρος Γ' ὁ Μακεδών / Aléxandros III o Makedốn, Ἀλέξανδρος signifiant « protecteur ou repousseur de l’homme ») (né le 21 juillet -356 à Pella, mort le 13 juin -323 à Babylone) est l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité.
Fils de Philippe II, élève d’Aristote et roi de Macédoine depuis -336, il devient l’un des plus grands conquérants de l’histoire. Il fait de son petit royaume le maître de l’immense empire perse achéménide, s’avance jusqu’aux rives de l’Indus et fonde près de soixante-dix cités, dont Alexandrie en -331.
Le mythe d’Alexandre s’explique principalement par ses prétentions à la conquête universelle. Cette aspiration, à la fois impossible et presque réalisée avant qu’il ne soit foudroyé à l’âge de trente trois ans, a pour conséquence — durant un temps très court — une unité politique jamais retrouvée ensuite entre l’Occident et l’Orient.
L’héritage d’Alexandre, marqué par une tentative de fusion des cultures grecque et orientale, fut partagé entre ses généraux pour former les différents royaumes et dynasties de la période hellénistique.
Alexandre est né à Pella, la capitale du royaume de Macédoine, le 21 juillet -356. Il est le fils de Philippe II de Macédoine et d’Olympias, princesse d’Épire, sa troisième femme. Par sa mère, il est le neveu d’Alexandre le Molosse, roi d’Épire, territoire qui se situe de nos jours entre la région grecque d’Épire et le sud de l’actuelle Albanie.
Une légende, connue dès l'Antiquité, affirme qu’Olympias n’a pas conçu Alexandre avec Philippe, qui avait peur d’elle et de son habitude de dormir en compagnie de serpents, mais avec Zeus. Alexandre se sert de ces contes populaires à des fins politiques, faisant référence au dieu plutôt qu’à Philippe quand il évoque son père. Une autre légende datant du IIIe siècle, d’origine égyptienne celle-là et faussement attribuée à Callisthène, le Roman d’Alexandre, veut qu’Alexandre soit le fils du dernier pharaon égyptien de la XXXe dynastie, Nectanébo II.
Par son père Philippe II, Alexandre prétend descendre de Téménos d’Argos, lui-même descendant d’Héraclès, fils de Zeus — pour cette raison, la dynastie macédonienne s’appelle dynastie des Argéades ou des Téménides. Par sa mère, Olympias, de la dynastie des Éacides, Alexandre affirme descendre de Néoptolème, fils d’Achille.
Selon une affirmation du temps, rapportée entre autres par Plutarque, Alexandre naquit la nuit même où Érostrate incendie le temple d'Artémis à Éphèse, une des sept merveilles du monde antique. Alexandre utilise plus tard cette coïncidence pour renforcer son aura politique, et propose de financer la restauration du temple, ce qui est cependant refusé par les Ephésiens.
Plutarque indique également que Philippe et Olympias ont rêvé de la future naissance de leur fils. Après avoir consulté Aristandre de Telmessos qui détermina que Olympias était enceinte et que l’enfant aurait le caractère d’un lion.
Alexandre possède, aux yeux des Grecs une double appartenance. Il est aussi un barbare car c’est un Macédonien qui possède un tempérament passionné et se laisse emporter par des colères d’une terrible violence, héritage attribué à sa mère, mais souvent suivies de prompts repentirs. Il est capable d’élans généreux qui lui allient des fidélités sans failles. Ses convictions religieuses sont entachées de superstitions. Cependant le trait de caractère dominant du personnage est sans contestation aucune sa volonté de fer, qui peut aller jusqu’à l’obstination et l’entêtement.
Parallèlement, Alexandre est profondément influencé par la culture grecque. Il est vrai que, située dans le nord de la Grèce actuelle, la Macédoine est l’une des régions pélagiques antiques. La langue parlée est alors l’un des nombreux dialectes grecs et, dès l’époque du roi Archélaos (fin du -Ve siècle ), la langue officielle de la cour et de la chancellerie macédonienne devient l’ionien-attique. Philippe, qui a séjourné à Thèbes dans la maison d’Épaminondas comme otage (entre -369 et -367), le parle pour sa part couramment ainsi que son fils. Ce dernier selon Plutarque ne parle macédonien que sous le coup d'une forte émotion.
Après avoir été éduqué par Léonidas, un parent de sa mère Olympias et Lysimaque d'Acarnanie, Alexandre reçoit pour précepteur le philosophe Aristote de -343 à -340. Ce dernier est le fils de Nicomaque, médecin d’Amyntas III, le grand-père d’Alexandre. Il rédige une édition annotée de l'Iliade pour son élève. Alexandre lit également Hérodote et Xénophon, auteurs qu’il sait exploiter plus tard lors de ses conquêtes. Alexandre se révèle un étudiant doué. Il connaît par cœur de nombreuses tragédies, l’Iliade, et possède de nombreuses notions de médecine, d’histoire et de mathématiques. Plusieurs compagnons d’enfance d’Alexandre, dont Ptolémée, Philotas, Héphaestion, se retrouvent à ses côtés lors de la conquête de l’Asie. La séduction du personnage tient sans doute à ce mélange contradictoire : barbare et Macédonien, mystique et réaliste, violent et généreux, emporté par son imagination et son rêve et guidé par sa lucidité. Sa volonté inflexible se double d’un réel opportunisme et d’un sens inné de la mise en scène. Bien que considéré comme barbare par les Athéniens, le royaume de Macédoine a, sous le règne de Philippe, étendu son hégémonie sur la Grèce classique. Il vainc Athènes aux Thermopyles en -352, intervient dans un conflit entre Thèbes et les Phocidiens, triomphe d’une coalition d’Athènes et de Thèbes à la bataille de Chéronée, en -338. Alexandre y fait ses preuves en commandant la cavalerie et en taillant en pièces le Bataillon. Philippe est également l’initiateur de la ligue de Corinthe, rassemblant toutes les cités grecques, à l’exception de Sparte, sous son commandement. La ligue doit porter la guerre contre l’Empire perse. En -340, en l’absence de son père parti assiéger Byzance, Alexandre, à seize ans, devint régent de Macédoine.
En -337 cependant, une violente dispute oppose le père et le fils quand Alexandre prend le parti de sa mère Olympias à laquelle Philippe souhaite imposer Cléopâtre, sœur ou nièce d’un général de Philippe, Attale, comme seconde épouse légitime et dont il a bientôt un fils. Alexandre doit se réfugier dans la famille de sa mère en Épire. Cependant la brouille ne dure guère et bientôt pardonné, Alexandre sauve la vie de son père lors d’une expédition contre les Triballes. L’élimination de tout rival potentiel, (été -336) au cours de l’été -336, Philippe est assassiné lors du mariage de sa fille Cléopâtre avec le roi d’Épire, Alexandre le Molosse, le frère d’Olympias. L’assassin est un jeune noble, Pausanias, un ancien officier du roi qui garde une rancune contre Philippe, ce dernier ayant ignoré une requête qu’il lui aurait faite. Les historiens de l’Antiquité ont parfois cru que le meurtre de Philippe avait été une machination impliquant Olympias et peut-être Alexandre mais Diodore de Sicile penche pour un motif personnel du meurtrier. Peu d'historiens contemporains considèrent qu'Alexandre est impliqué dans le meurtre de son père alors que toute la conduite de Philippe montre qu'il entend en faire son successeur. Une autre hypothèse met en cause Darius III, le nouveau roi de Perse. Plutarque mentionne une lettre virulente d’Alexandre à Darius, où le Macédonien blâme Darius (et Bagoas, son grand vizir dont Darius III se débarrasse rapidement peu après), pour le meurtre de son père, soutenant que c’est Darius qui s’était vanté auprès des différentes cités grecques de la façon dont il avait fait assassiner Philippe. Après la mort de Philippe, l’armée proclame Alexandre, alors âgé de vingt ans, nouveau roi de Macédoine. Les villes grecques comme Athènes et Thèbes, qui avaient prêté allégeance à Philippe, ne sont pas si pressées de faire de même vis-à-vis du jeune homme. Alexandre ordonne immédiatement l’exécution de tous ses rivaux potentiels. Ainsi, pour ne pas avoir de concurrent au trône, il fait assassiner son cousin Amyntas IV, roi de Macédoine vers -360 / -359 que Philippe II avait renversé alors qu’il n’était qu’un enfant. Quant à Olympias, profitant d’une absence de son fils parti guerroyer au nord, elle fait tuer le fils de Philippe II et de Cléopâtre et contraint cette dernière à se pendre. L’oncle de cette dernière, Attale, qui se trouve en campagne en Asie avec Parménion, est également assassiné. Impossible de savoir si elle agit avec l’assentiment d’Alexandre ou non, toujours est-il que le nouveau roi de Macédoine n’a plus de rival capable de lui contester le trône.
Alexandre n’est pas seulement roi des Macédoniens, mais aussi, comme son père, archonte à vie des Thessaliens et hégémon (ἡγεμών, « commandant en chef ») et stratège autoproclamé de la Ligue de Corinthe. De fait, la politique de la Ligue est entièrement dictée par les Macédoniens Philippe puis Alexandre.
Cependant, avant de reprendre le projet de son père de porter la guerre en Asie, il assure la sécurité de son royaume par deux expéditions au nord de la Macédoine ; l’une jusqu’au Danube, l’autre en Illyrie révoltée (fin de l’année -336 et début de l’année -335 jusqu’en été). Suivant Strabon et Arrien, des émissaires celtes — les ancêtres des Scordisques du milieu du -IIIe siècle — rencontrèrent Alexandre sur le Danube, à cette occasion en -335. L’anecdote suivante est rapportée:
« Quand Alexandre eut vaincu les Gètes et rasé leur ville, sur le Danube, il lui vint des ambassades de tous côtés et entre autres des Gaulois, qui sont (dit-il) de grands hommes. Alexandre leur demanda alors ce qu’ils craignaient le plus au monde, en s’attendant à ce que ces gens disent qu’ils ne craignaient rien plus que lui : mais il fut détrompé car il avait affaire à des gens qui ne s’estimaient pas moins que lui ; ils lui dirent que la chose de ce monde qu’ils craignaient le plus était que le ciel ne tombât sur eux, ce qui signifiait qu’ils ne craignaient rien. »
Cependant, alors que le nouveau roi de Macédoine est occupé au nord, les cités grecques se révoltent. La riposte d’Alexandre est à la fois foudroyante, impitoyable et paradoxale. Impitoyable, car la ville de Thèbes est entièrement rasée (automne -335) à l’exception de la citadelle de la Cadmée, de la maison natale de Pindare et des temples des dieux, sa population réduite en esclavage et les terres partagées entre les vainqueurs. Paradoxale, car Alexandre épargne Athènes, trop heureuse de se soumettre à moindre mal. Sans doute faut-il voir dans cette générosité la volonté de ne pas détruire le principal centre artistique, philosophique de la Grèce, ou bien l’influence de son ancien maître Aristote qui s’installe cette même année -335 à Athènes et y fonde le Lycée. Il semble aussi que les conseils de Phocion aient convaincu le roi de ne pas détruire la ville. Cela dit, les accès de fureur chez Alexandre alternent fréquemment avec des gestes de grande générosité, la destruction de Thèbes et le pardon d’Athènes ne sont que les premiers d’une longue liste. Au final, Alexandre est assez peu présent comme souverain dans son royaume.
Quand il quitte l’Europe au printemps -334 pour son expédition en Asie, c’est pour ne jamais y revenir.
Source Wikipédia
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Message par Gengis Khan Sam 29 Sep 2007 - 8:58

Gengis Khan né vers 1155 et mort en 1227 dans le comté de Qingshui, fut le premier dirigeant (Khan) mongol et empereur (Khagan) de l'Empire mongol. Né Temüdjin ou Temüjin (mongol : Тэмүжин) dans le clan Bordjigin, il utilisa son génie politique et militaire pour unifier les tribus turques et mongoles de l'Asie centrale et ainsi fonder son empire, le plus vaste empire contigu de tous les temps.
Gengis Khan est une figure légendaire et fortement respectée en Mongolie, où il est vu comme le père de la nation mongole. Cependant, lui et ses successeurs sont responsables de nombreuses guerres et conquêtes entraînant la mort de dizaines de millions de personnes. En conséquence, dans beaucoup de régions de l'Asie et du Moyen-Orient, il est vu comme un conquérant impitoyable et sanguinaire.
Avant de devenir Khan puis Khagan, Temüdjin unit plusieurs des tribus nomades de l'Asie de l'Est et de l'Asie centrale sous une nouvelle identité sociale en tant que « mongoles ». Commençant par l'invasion de la Dynastie des Xia occidentaux et de la deuxième dynastie Jin en Chine du Nord et la consolidation par de nombreuses conquêtes comprenant l'Empire des Khwârazm-Shahs en Perse, les Mongols régnèrent à travers l'Eurasie changeant radicalement la démographie et la géopolitique de ces zones. Il régna donc sur une majeure partie de l'Asie, incluant la Chine, la Russie, la Perse, le Moyen-Orient et l'Europe de l'Est.Gengis Khan est mort en 1227des suites d'une chute à cheval lors d'une partie de chasse. Ses fils et petit-fils ont dirigé l'empire après sa mort, le développant pendant encore plus de 150 années. Son petit-fils, Kubilai Khan, fut le premier empereur de la Dynastie Yuan en Chine. Il y a très peu d'informations vérifiables sur Gengis Khan avant qu'il ne commence ses conquêtes. Les quelques sources sur cette période ne sont pas toujours d'accord. Fondées sur des légendes transmises par ses biographes, les jeunes années du futur conquérant sont difficiles. Initialement prénommé Temüdjin (ou Temüdjin) (du turco-mongol temür, tömör : fer, le « plus fin acier »), il est né vers 1155 ou plus tard (1162 ou 1165)dans une tribu mongole près de la province de Hentiy, à proximité de la montagne Burkhan Khaldun, non loin de l'actuelle capitale de la Mongolie, Oulan-Bator. L’Histoire secrète des Mongols indique que Temüdjin est né en tenant un caillot de sang dans son poing, ce qui, dans le folklore mongol traditionnel, est une indication que l'enfant est destiné à devenir un grand chef. Temüdjin est le fils aîné de Yesügei, le chef du clan des Qiyat de la tribu Bordjigin (mongol : Боржигин). Il était le vassal de Toghril, le chef des Kereyit. Yesügei est également le petit-fils de Khabul Khan. La mère de Temüdjin, épouse principale de Yesügei enlevée de la tribu Merkit, Hö'elün. Selon l’Histoire secrète des Mongols, Gengis tient son nom d'un chef de clan tatar que son père venait de capturer. Le nom suggère également que sa famille ait pu être des descendants d'une famille des forgerons. A sa naissance, les quarante clans mongols sont déchirés par des guérillas intestines et divisés face à leurs parents et rivaux, Turcs et Tatars. Comme beaucoup d'autres tribus, ils étaient nomades. Puisque son père est un chef de clan, de même que ses prédécesseurs, Temüdjin est d'origine noble. Cette position sociale, relativement plus élevée, lui servira lorsqu'il demandera le soutien d'autres tribus. Néanmoins, le mythe lui attribuera un ancêtre un loup gris-bleu, une biche brune et « Alan Qo'a », une femme fécondée par un rayon de soleil. A neuf ans, en 1164, il est fiancé à Börte « La Céruléenne », du puissant clan des Khongirats et doit vivre auprès de sa belle famille afin qu’il gagne par son travail, selon la coutume, le prix de sa fiancée. La même année, il aurait tué un ours à mains nues. Son père meurt peu après, empoisonné dans la steppe lors d’un festin partagé avec les Tatars. Temüdjin étant alors trop jeune, le clan ne se soumet pas à lui et c’est le clan des Tayitchiout (Taïdjioutes) qui s’empare du pouvoir. Ils excluent la veuve de Yesügei et ses quatre enfants (les trois frères et la sœur de Temüdjin). Il passe les années suivantes avec sa famille en suivant le mode de vie des nomades. Capturé un jour par la tribu rivale des Tayitchiouts et par leur chef Targutaï, il réussit à s'échapper peu de temps après avec l'aide d'un de ses ravisseurs. Pendant ces années de misère, se battant pour manger, Temüdjin et son frère Kassar tuent leur demi-frère Bekter. Petit à petit, il reconstitue un patrimoine. Le fort caractère de Temüdjin lui permet d'avoir des amis fidèles dont Bo'ortchu et Djamuqa, même si ce dernier finira par le trahir, et des ennemis. Vers 1181, il épouse Börte, obtenant un statut social grâce à sa belle-famille, mais elle est enlevée par la tribu des Merkit. Temüdjin, avec l’appui de Toghril et de Djamuqa, chef des Djadjirat, écrase les Merkit sur les bords de la Buura, affluent de la Selenga, et délivre sa famille. Son premier fils Djötchi naît en 1182, quelques mois après la libération de sa mère, entretenant des doutes quant à sa paternité. En 1184, Temüdjin a un deuxième fils Djaghataï, suivit deux ans plus tard par un troisième nommé Ögödeï, puis en 1193, un quatrième nommé Tului. A dix-neuf ans, Temüdjin, que les historiens dépeignent comme grand, sec et musclé, est un farouche guerrier mais aussi un habile politicien, ce qui va lui servir dans sa tentative d'unification des tribus mongoles. Sa renommée grandit et de nombreux jeunes gens avides d'aventures le rejoignent. Parmi eux, Bortchou, Djelmé, Djebé la Flèche, Subötai resteront toujours ses quatre chiens féroces. A cette période, les peuples nomades d'Asie centrale sont divisés et facilement manipulés par les peuples sédentaires dirigés par de puissants monarques, tels ceux de la dynastie Jin au nord de la Chine.
Se forgeant de solides amitiés parmi les chefs des clans mongols, Temüdjin réussit, après une série de guerres et d'alliances mouvantes, à se faire nommer Khan vers 1195 ou 1197 par le qüriltaï (assemblée plénière). Son élection le brouille avec Djamuqa.
Gengis met rapidement en place des lois qui deviendront par la suite le Yasaq, un code politique et moral teinté de traditions ancestrales, qui servira de référence à ses successeurs.
En 1202, Temüdjin vainc les Tatars avant de dominer la Mongolie orientale puis centrale.
En 1206, un nouveau qüriltaï proclame Gengis empereur, prenant le titre de Tchingis Qaghan qui signifie en turco-mongol : « Souverain Océanique », ou plutôt « souverain universel »(de Tchingis = « océan » (cf. mongol tengis et turc deniz : mer, océan) et Qaghan = « souverain », c’est-à-dire en mongol moderne : Ĉingis Xaan).
Il est désormais connu sous le nom de « Gengis Khan ». La Mongolie est née.
En 1294 l'empire a été scindé en :
Empire du Grand Khan (Dynastie Yuan)
Entre 1206 et 1209, Gengis lance sa première campagne sur la Dynastie des Xia occidentaux après avoir envoyé son fils Djötchi soumettre une tribu du nord. Cette conquête aboutit à un accord de paix, l'empereur du Xia occidental reconnaît son infériorité et promet d'associer ses troupes à celles de Gengis en cas de besoin. Diverses tribus se rallient spontanément à Gengis Khan comme les Qarluq et les Ouïghours dont l'alphabet, encore en usage de nos jours en Mongolie, est intégré. Par la suite, suivent les Khitans et les Kara Khitaï.
Deuxième dynastie Jin
Cependant, la cible principale de Gengis reste la Deuxième dynastie Jin, tant pour des raisons de revanche que pour s'accaparer les richesses de la Chine du Nord. La guerre est déclarée en mars 1211. Malgré sa préparation, il est bloqué deux années près de la Grande Muraille mais en profite pour prendre la Mandchourie. Victorieux en campagne, les Mongols voient leurs assauts repoussés dans la conquête des grandes villes jusqu'au développement d'armes de siège.
Il avance ensuite avec trois armées au cœur du territoire, entre la Grande Muraille et le Huang He. Après avoir dévasté le nord de la Chine et pris de nombreuses villes, il capture Pékin en 1215 mais refuse d'entrer personnellement dans la ville. Ses successeurs y seront ensuite vaincus, mais pas avant 1234.
Entre-temps, certains de ses adversaires se réfugient vers l'ouest et se cachent dans le royaume des Kara-Khitans (Dynastie Liao), pourtant allié occidental de Gengis. Le Khan envoie Djebe, l'un de ses généraux, à sa poursuite par la conquête du territoire, qui, selon lui, conspirait contre-lui. De population majoritairement musulmane mais sous la coupe des bouddhistes, les Mongols sont accueillis comme des libérateurs. En 1217, Gengis quitte la Chine, laissant son général Muqali en charge des régions conquises. En 1218, Gengis envoie des émissaires dans une province orientale du Khwarezm afin de parlementer avec le gouverneur. Ceux-ci sont exécutés. Gengis réplique en envoyant une force de 100 000 à 200 000 hommes et en pénétrant en Sogdiane. Dès 1220, le Khwarezm est vaincu, Boukhara et Samarkand sont occupées. En 1221, il occupe Bactres (Balkh) et arrive jusqu'à l'Indus où, près de quinze siècles auparavant, un autre conquérant, Alexandre le Grand, s'était arrêté en provenance de Grèce. Son petit-fils, Mütügen meurt à Bâmiyân.
Dynastie des Xia occidentaux et la Deuxième dynastie Jin :
L'empereur du Xia Occidental ayant refusé de prendre part à la guerre contre le Khwarezm, Gengis lui promet un châtiment. Alors qu'il est en Iran, le Xia Occidental et Jin s'allient contre les Mongols.
Avec le temps, Gengis prend l'avenir avec plus de considération et s'assure une sélection de successeurs parmi ses descendants. Il choisit son troisième fils Ögödei comme héritier et établit une méthode de sélection de ses sous-chefs spécifiant qu'ils doivent provenir de sa descendance directe. Dans un même temps, il étudie les rapports de ses espions sur le Xia Occidental et Jin et prépare une force de 180 000 hommes pour sa nouvelle campagne. En 1226, Gengis Khan attaque les Tangoutes sous le prétexte qu'ils hébergeaient des ennemis des Mongols. En février, il s'empare des villes de Heisui, Gan-zhou et Su-zhou. À l'automne, il prend Xiliang-fu. Un général de Xixia défie les Mongols dans une bataille près de la montagne Helanshan, mais son armée est vaincue. En novembre, Gengis mène le siège contre la ville tangoute de Ling-zhou puis traverse le Fleuve Jaune et anéantit le reste de l'armée tangoute. Un alignement de cinq étoiles est observé le soir de cette bataille. En 1227, il attaque la capitale tangoute et s'empare de Lintiao-fu en février. En mars, il prend Xindu-fu et la préfecture de Xining. En avril, la préfecture de Deshun. À Deshun, le général Xixia Ma Jianlong résiste aux Mongols pendant plusieurs jours et mène personnellement les attaques pour les maintenir en dehors de la ville. Ma Jianlong meurt peu après sous les assauts des archers mongols. Après avoir conquis Deshun, Gengis se dirige vers la montagne Liupanshan pour passer l'été. Sur la montagne, il décrète que les Mongols ne doivent plus tuer aveuglément, conformément à la parole qu'il avait eue un an auparavant, lors de l'alignement des cinq étoiles.
Gengis meurt des suites d'une chute à cheval lors d'une partie de chasse. Il aura le temps d'exposer à son plus jeune fils, Tolui, les plans qui seront plus tard utilisés pour achever la destruction de l'empire de Jin.
Son corps est ramené en Mongolie. Sur le chemin du retour, son escorte tue tout témoin du cortège afin que le lieu de sa dernière demeure reste secret. Ce lieu n'ayant pas été découvert, le mausolée de Gengis Khan n'est en fait qu'un cénotaphe.
Le nouvel empereur de Xixia se rend aux Mongols. Les Tangoutes capitulent probablement le 12 août 1227, après 190 ans d'existence. L'empereur tangoute et la famille royale sont exécutés.
Le Khagan successeur ne pouvait avoir de réelle légitimité que s'il était du même sang que Gengis Khan, limitant donc les successeurs potentiels à la seul famille du dernier Khagan. Tolui assura la régence de la mort de Gengis en 1227 à la nomination d'Ögödei en 1229 après une autre assemblée plénière.
Les quatre fils de Gengis Khan avaient participé aux campagnes de leur père et occupèrent donc des rôles de première importance dans l'empire. Si Ögödei devint Khagan, ses trois frères devinrent Khan de différents Khanats.
A partir de 1260, l'Empire Mongol se divisait en quatre ulus (mongol ulus, uls : pays, région) :
* au nord-ouest, les steppes russes, territoire de la Horde d'Or où régnaient les descendants de Djötchi.
* au sud-ouest, le domaine des Ilkhans de Perse descendants de Hülegü, fils de Tolui.
* au centre, le khanat de Djaghataï, fief des descendants de Djaghataï.
* à l'est, englobant la Mongolie, la Chine des Yuan, dynastie fondée par Kubilai Khan.
Source Wikipédia
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Message par Arthur Sam 29 Sep 2007 - 17:12

Le roi Arthur, ou Arthur Pendragon, est un personnage important de la mythologie bretonne. Il est le personnage central de la matière de Bretagne. Il n'est pas sûr qu'il ait réellement existé, ce qui est toutefois sûr c'est que l'on retrouve plusieurs rois prénommés Arzur, Arthus, Artus, Arthur dont l'amalgame a probablement conduit au mythe du roi Arthur Pendragon. De plus, les textes médiévaux en gallois ne lui donnent jamais le titre de roi, mais l'appellent amerauder (« empereur »).

Le nom lui-même viendrait de la racine celtique Arz signifiant « ours », symbole de force, de stabilité et de protection, caractères bien présents dans sa légende : c'était un homme réputé fort, posé, et en tant que roi, garant de la sécurité de ses sujets. Dans la civilisation celtique, l'ours est avant tout l'animal emblématique de la royauté. On rapproche son nom avec celui de la déesse ourse Artio.

Le terme « Pendragon » lui vient de son père Uther Pendragon et signifie « tête de dragon ».
Certains pensent qu'il aurait vécu aux Ve et VIe siècles et serait originaire du Pays de Galles, ou de l'ouest de l'Angleterre, mais l'emplacement exact de sa cour, connue sous le nom de Camelot, reste un mystère. Il aurait combattu les Saxons. Il est parfois assimilé à un chef nommé Ambrosius Aurelianus, « King of the Brettones ». Malheureusement, nous ne connaissons que peu de choses de ce chef, et les spécialistes ne savent pas si les « Brettones » désignaient les habitants des Îles Britanniques, ou ceux de Bretagne. Il est néanmoins assez probable que le terme désigne les peuples insulaires, le mot « Bretagne » à l'époque ne désignant aucune terre sur le continent. Les historiens anglophones parlent de Britto-romains (romano british en anglais), qui dénomment l'ensemble des populations celtiques romanisées de Grande-Bretagne, à l'exception des Scots et des Pictes de Calédonie. Concernant Arthur lui-même, une thèse intéressante en ferait un grand propriétaire terrien romanisé ayant constitué, comme c'était alors courant à l'époque, sa propre troupe de buccelaires (mercenaires à la solde d'une personne riche et payés en nourriture, d'où leur nom (buccelus = biscuit), et ayant prêté main-forte aux rois brittons contre les Saxons. En effet, la chronique de Nennius (IXe siècle) le désigne comme un dux bellorum (chef de guerre) combattant « avec les rois bretons ». En outre, dès le IVe siècle, les corps de buccelaires sont constitués majoritairement de cavaliers. La légende d'un corps de cavaliers d'élites servant Arthur n'est pas loin.
Source Wikipédia
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Message par Ramsès II Sam 29 Sep 2007 - 19:25

Ramsès II, appelé aussi Ramsès le Grand, est le troisième pharaon de la XIXe dynastie. Manéthon l'appelle Ramsès (ou Ramesses Miamoun, Rampses). Il est né aux alentours de -1304/ -1305 et règne de -1279 à -1213.
Il est le fils de Séthi Ier et de la reine Mouttouya (ou Touy ou Touya). Il lutte contre les Hittites et construit une série de temples en Nubie dont les plus célèbres sont ceux d'Abou Simbel. Après la bataille de Qadesh en l'an IV de son règne, contre l'armée de l'empereur des Hittites, Muwatalli (-1310/-1269), la frontière sur l'Oronte est stabilisée.
Son règne de 66 ans est exceptionnellement long et marque la dernière grande période de prospérité de l'Égypte ancienne. Il est marié à une douzaine d'épouses (cinq ou six « grandes épouses ») :
* Néfertari la préférée qu'il représente sur de nombreux bâtiments et pour laquelle il fait creuser un magnifique hypogée dans la vallée des Reines sur la rive occidentale de Thèbes et dont la construction d'Abou Simbel représente l'amour du couple royal. Avec Néfertari il a cinq fils dont Méry-Atoum (ou Mériatoum), Grand Prêtre de Rê, et quatre filles dont Méritamon (ou Mérytamon).
Ramsès II fit ériger des colosses à son effigie dans les grands temples construits ou restaurés.
Les plus célèbres sont bien sûr ceux en façade des temples d'Abou Simbel, ceux qui encadrent l'entrée du pylône du temple de Louxor, le colosse couché à Memphis, ainsi que celui qui trônait depuis quelques décennies en plein centre du Caire, sur la place qui porte son nom devant la gare centrale. Attaqué par la pollution, ce dernier a été transféré le 25 août 2006 vers Gizeh afin d'être installé au cœur du Grand musée égyptien actuellement en cours de construction.
Source Wikipédia
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Message par Atahualpa Dim 30 Sep 2007 - 16:19

Il naît à Quito, fils d'une princesse de l'ancien du Royaume de Quito et du Sapa Inca Huayna Capac. Lorsque son père décède, la succession au trône reste incertaine, le fils désigné par Huayna Capac ayant été emporté par une épidémie de Variole. Dans l'incertitude, Huascar dont la mère est une princesse de Cuzco est couronné. La noblesse du nord de l'empire étant hostile à cette décision décide de couronner Atahualpa comme Sapa Inca. Le prince règnera ainsi deux années sur les provinces du nord de l'empire où il est honoré et respecté comme souverain unique. Un statu quo se maintient jusqu'à ce que les généraux quiténiens arrivent à persuader le prince de monter sur le trône de Cuzco : l'empire ne doit pas rester divisé. Les généraux Quizquiz, Chalcuchimac et Rumiñahui sont à la tête des armées de Quito, les hostilités s'ouvrent ainsi. Après des mois de guerre civile, les armées de Huascar sont presque défaites. Atahualpa semble pouvoir devenir le 13e empereur inca du Tahuantinsuyu (l'empire inca), il est en route pour Cuzco lorsqu'il reçoit la nouvelle du débarquement des hommes blancs et barbus dans la baie de Tumbes. Le prince fait surveiller les étrangers et on rapporte déjà de nombreux abus de leur part.

Le 16 novembre 1532, après quelques pourparlers, Atahualpa est invité par le conquistador espagnol Francisco Pizarro, dans le village de Cajamarca au nord de l'actuel Pérou. L'empereur Atahualpa se rend à proximité de Cajamarca entouré de sa cour et escorté de ses armées triomphantes, celles-ci sont suffisamment nombreuses pour encercler toute la ville et camper sur tous les flancs de la vallée. Pour convaincre Atahualpa de le rencontrer, Pizarro lui propose de l'aider dans la lutte qui l'oppose à son frère Huascar. Méfiant, Atahualpa accepte et convient d'une entrevue à laquelle Indiens et Espagnols doivent se rendre sans armes. N'ayant pas décelé le piège, l'Inca se rend en très grande pompe dans la ville de Cajamarca : il souhaite impressionner les étrangers. Dans sa litière d'or, portée par les plus nobles princes de l'empire, le Fils du Soleil est escorté par pas moins de 30 000 hommes et femmes de sa cour et de son armée. C'est un prêtre espagnol qui présente une bible au prince en lui demandant s'il accepte de suivre la parole du dieu unique. Atahualpa se saisit du livre et le porte à son oreille. Celui-ci s'exclame qu'il n'entend aucune parole et jette le livre. Pour les Espagnols ce sera le bon prétexte, s'étant déjà fixés le but de capturer le prince, ils donnent alors le signal de l'attaque. Cachés dans les maisons de la ville, les Espagnols en armes se ruent sur les Indiens venus désarmés. Ayant attaché des grelots aux jambes de leurs chevaux et tirant en tout sens avec leurs fusils, ils créent une véritable panique chez les Indiens, ceux-ci tentent de s'enfuir de la place dont les issues sont trop petites, beaucoup sont déjà piétinés. Au milieu de la confusion, Atahualpa reste impassible sur sa litière, alors que ses porteurs sont massacrés, d'autres se précipitent pour le maintenir dans sa dignité de Sapa Inca. Les Espagnols finissent par s'en saisir, le souverain inca est fait prisonnier. Mais cela ne semble pas suffire aux Espagnols qui, jusqu'à la nuit tombée, pourchassent les Indiens dans toute la vallée, laissant derrière eux plus de vingt mille cadavres dont une grande partie de la noblesse et de l'élite impériale venue en paix.

Voyant que les Espagnols avaient un intérêt spécial pour les métaux précieux, le prince propose pour sa libération une fabuleuse rançon en or et en argent. Les Espagnols acceptent. Sur ordre du souverain, les sujets apportent de tout l'empire une quantité extraordinaire d'or et d'argent, les temples sont vidés.

Pendant sa détention, Atahualpa reçoit des nouvelles de ses armées : le prince de Cuzco, Huascar est fait prisonnier et est enfermé au Sacsahuaman, Atahualpa qui semble croire que les Espagnols vont le libérer, ordonne de faire exécuter son rival.

Après versement de la rançon, les Espagnols, ayant pris la mesure de la puissance du prince en son royaume, commencent à penser que cet homme qui a tant de prestige et d'autorité sur son peuple finira tôt ou tard par reprendre le dessus sur eux. Les Espagnols les plus radicaux proposent d'exécuter le prince et de placer un empereur fantoche à sa place, lequel sera plus manipulable. Pizarro, à contre cœur, doit condamner Atahualpa qu'il a appris à estimer. Le prince est condamné à être brûlé sur un bûcher, les Espagnols qui l'estiment le supplient de se convertir auquel cas il sera garrotté et non brûlé, il accepte. L'exécution a lieu dans sa cellule le 29 août 1533.

L'empire Inca est anéanti. Les Espagnols poursuivront leur plan en plaçant sur le trône Manco Inca aussi appelé Manco Capac II, qui par la suite mènera une grande rébellion.

Aux yeux de nombreux habitants des pays andins, le prince Atahualpa reste une figure historique très estimée en raison de l'aspect tragique de sa capture par les Espagnols. Il est également souvent considéré comme le XIIIe et dernier empereur inca annoncé par la prophétie faite à l'époque de Tupac Yupanqui.
Source Wikipédia
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Message par Lancelot du Lac Dim 30 Sep 2007 - 18:23

Lancelot est un personnage du cycle des romans de la Table Ronde et le héros éponyme du roman de chevalerie Lancelot du Lac, écrit au XIIIe siècle en langue romane par un auteur anonyme médiéval. Cependant, il est surtout connu par le roman courtois de Chrétien de Troyes, le Chevalier de la charrette, composé entre 1177 et 1181 à la demande de la comtesse Marie de Champagne, fille d'Aliénor d'Aquitaine. Il est l'un des chevaliers de la Table Ronde, faisant ainsi partie du cycle du Graal. Lancelot est l'archétype du chevalier courtois, au service indéfectible de sa dame, étant même prêt à sacrifier son honneur pour rejoindre celle-ci. Cependant, cet amour sera à l'origine de sa perte et l'empêchera de trouver le Saint Graal : seul son fils, Galahad le Pur, aura ce privilège.
Malgré la diversité des récits, on peut tout d'abord retenir que Lancelot, dont le nom de baptême est Galaad, est le fils du roi Ban de Bénoïc et de la reine Élaine. Il est donc l'héritier de la Bretagne armoricaine, mais il est aussi et surtout le descendant d'une lignée prestigieuse, remontant notamment à Joseph d'Arimathie, le personnage biblique ayant recueilli le sang du Christ dans le Saint Graal et ayant apporté celui-ci en terre bretonne.
Le château de son père, situé au bord d'un lac au cœur de la forêt de Brocéliande, (en fait il s'agit à l'époque de rédaction des récits arthuriens de la marche de Gaule et de Petite Bretagne située par des recherches récentes entre Vannes et Bellême, entre le Mont Saint Michel et le Mans), était réputé imprenable. Cependant, lors d'une campagne aux côtés du roi Arthur, le roi Ban de Benoïc mourut en quittant son château qui brûlait, laissant seule sa femme enceinte. Quelques mois après sa naissance, le jeune Galaad est enlevé sous les yeux de sa mère par une créature venant du fond du lac, et disparaît, croit-elle, à jamais.
Ce lac était en fait la demeure de la Dame du Lac », et était la passerelle vers l'île enchantée d'Avalon, pays des mages et sorciers. La fée Viviane, car c'était elle, avait enlevé Galaad pour l'emmener en son palais sous-marin et l'éduquer comme un fils. Elle décida donc de l'appeler Lancelot du Lac. Pendant 18 ans, elle l'éduqua à dessein d'en faire le chevalier parfait : chasse, musique, combat mais aussi courtoisie et noblesse d'esprit. Parvenu à l'âge de 18 ans, il pressa la fée Viviane de l'introduire auprès du roi Arthur pour être adoubé chevalier. Grâce à son appui, mais aussi grâce à l'aide du chevalier Gauvain, neveu du roi, il fut fait chevalier le lendemain même, jour de la Saint-Jean. C'est durant cet adoubement qu'il remarque celle qui sera sa dame, mais qui provoquera aussi sa perte, la reine Guenièvre. Ébloui par celle-ci, il va à sa rencontre et lui propose de devenir son chevalier, ce qu'elle accepte : le coup de foudre est réciproque. Cependant, dès la fin de la cérémonie, une jeune fille vient le trouver et lui apprend qu'il doit prendre la route sur-le-champ, afin de délivrer des maléfices le château de la Douloureuse Garde. Celle-ci lui remet, de la part de la Dame du Lac, un écu à trois bordures rouges, qui décuplera sa force au combat.
Après avoir chevauché toute la journée, il arrive enfin au sinistre château : derrière les portes de la double enceinte, vingt chevaliers gardent prisonniers les villageois et attendent de le tailler en pièces. Grâce à l'écu de Viviane, il arrive pourtant à venir à bout de ses adversaires et fait ainsi sien ce château, le rebaptisant du même coup château de la Joyeuse Garde. Il repart pourtant immédiatement vers Carduel, impatient de revoir sa dame. Mais en longeant le cimetière du château, une tombe, surplombée d'une épée en or, attire son attention. Il s'en approche et parvient à déchiffrer l'inscription : « Ici reposera Lancelot du Lac, fils du roi Ban de Benoïc et vainqueur de la Douloureuse Garde ». Il apprend donc en même temps le secret de sa naissance et celui de sa mort. A son retour, il est fêté par l'ensemble de la cour, plus particulièrement par la reine. Arthur en fait alors son principal relais pour la mission de quête du Graal. Lancelot est en effet le meilleur des chevaliers de la Table Ronde, souverain en courtoisie, en tournoi et au combat. Lancelot, au cours de ses aventures, pourra même apercevoir le Graal par deux fois. Cependant, son amour interdit pour la reine l'empêchera d'avoir accès à ses mystères. Au fil des tournois et des combats, sa réputation ne cesse de grandir, tout comme son amour pour Guenièvre. Or, un jour où Lancelot était absent de la cour, Méléagant, fils du roi de Gorre, vient défier les chevaliers. Ainsi, il affirme détenir prisonniers dans son château un certain nombre de chevaliers et propose de les libérer si quelqu'un réussit à le vaincre en combat singulier. Dans le cas contraire, il enlèvera la reine Guenièvre. Seul le sénéchal Keu accepte et relève le défi.
Le lendemain, Keu et Guenièvre se présentent à l'orée de la forêt, où les attend Méléagant. Après un très court combat, Keu se retrouve à terre. Méléagant saisit alors la reine et le chevalier, et s'apprête à s'en aller lorsque Lancelot, arrivant à grand galop, s'élance sur le prince de Gorre. Il réussit à le blesser à l'épaule, mais Méléagant enfonce son épée dans les flancs du destrier de Lancelot et prend la fuite. Lancelot se retrouve alors seul, loin de tout mais surtout privé de son cheval. Il se met donc à marcher à travers la forêt pendant des heures. Il aperçoit soudain, au bord du chemin, un nain conduisant une charrette à bestiaux, sale et vermoulue. Il demande à celui-ci s'il n'a pas vu passer l'équipage constitué de Méléagant, Guenièvre et Keu. Le nain lui répond qu'il pourra le mener à sa dame à la condition de monter sur la charrette. Lancelot hésite : seuls les brigands et les hommes de peu de foi se déplacent en cet attirail, mais c'est pourtant sa seule chance de revoir la reine. Il se résout donc à monter sur cette charrette de la honte. Commence alors un éprouvant voyage : sur le chemin, tous se moquent de cet attelage d'un nain et d'un chevalier misérable. Finalement, la charrette arrive à un château où ils passent la nuit.
Dès l'aube, le nain réveille Lancelot : il a vu la reine Guenièvre emmenée par des gardes. Après avoir chevauché nuit et jour, il parvient aux abords du château de Baudegamu. Mais il n'est pas au bout de ses peines : il doit en effet franchir le terrible Pont de l'Épée, une immense épée tranchante comme un rasoir posée entre deux rives. Ce pont, situé au-dessus d'une eau noire et glacée, est gardé par deux lions. Ne pensant qu'à sa dame, il enlève ses gants et s'enduit de poix, matière visqueuse, pour éviter la chute. Après maintes coupures, il rejoint enfin l'autre rive de laquelle les lions ont, par enchantement, disparu. Devant cet exploit, Lancelot est acclamé et le roi Baudegamu propose alors de libérer tous les prisonniers, mais Méléagant refuse et défie Lancelot. Dès le lendemain, le combat entre Lancelot et Méléagant débute. Malgré toutes les épreuves qu'il a subies, Lancelot a rapidement le dessus. Baudegamu ordonne alors l'arrêt du combat, et Lancelot peut ainsi repartir pour Camelot avec sa dame. Malgré cet exploit, la proximité de Lancelot et Guenièvre est vue d'un mauvais œil, et leur relation rapidement éventée. Un soir, alors qu'il avait rejoint Guenièvre dans sa chambre après un banquet, il est surpris par Arthur. Celui-ci voit donc ses soupçons confirmés et décide alors de le faire arrêter. Lancelot réussit à s'enfuir, mais doit abandonner sa dame. Selon les lois du royaume, celle-ci a trahi et doit donc mourir : elle montera sur le bûcher.
Le jour dit, les soldats hésitent à s'emparer de la reine : son aura est encore intacte. Alors que celle-ci avance d'elle-même vers le lieu du supplice, une trentaine de cavaliers arrivent à bride abattue : c'est Lancelot qui, à leur tête, vient enlever Guenièvre. Mais les chevaliers d'Arthur veillent : après une rude bataille, dans laquelle Lancelot tue Agravain et Gareth, deux frères de Gauvain, seuls Gauvain et Lancelot sont en mesure de se battre. Arthur voit alors s'affronter ses deux meilleurs chevaliers, autrefois amis. Il leur demande d'éviter ce massacre inutile mais la détermination de Gauvain est grande. Dans cet ultime combat entre deux adversaires de même valeur, Lancelot finit par prendre le dessus et assène un coup fatal. Il demande alors à Arthur la faveur d'arrêter le combat et de retourner dans sa Gaule natale. C'est ainsi qu'il quitte le roi Arthur, afin de rejoindre l'ermitage de ses derniers jours et de ne plus revoir son roi et sa dame. Certains chroniqueurs, tel René Bansard, ont cru reconnaître comme pays natal de Lancelot du Lac la région de Passais-la-Conception, qui englobe une partie du nord de l'actuel département de la Mayenne et du sud de l'Orne. À sa mort, plusieurs auteurs ont relayé son œuvre. Un ouvrage collectif nommé La légende Arthurienne et la Normandie, indique : « Notre propos est seulement d'ouvrir une piste nouvelle… Pour mieux comprendre comment des traditions concernant Saint-Fraimbault, Saint-Bômer, ou Saint-Ernier avaient pu aboutir aux transpositions romanesques que l'on sait ». Pour Réjane Molina, dans un article intitulé La Chapelle Royale Saint-Fraimbault-de-Senlis et le Graal, « Fraimbault de Lassay » et « Lancelot du Lac » possèdent exactement la même signification étymologiquement. Le calendrier des événements culturels de Bagnoles-de-l'Orne inclut une visite des sites arthuriens les plus célèbres.
Lors de l'épisode de la charrette, Lancelot est longuement tiraillé entre son honneur et l'amour qu'il éprouve pour la reine Guenièvre.
« Nain, fait le chevalier, au nom du ciel, dis-moi si tu as vu passer ma dame la reine.
– Si tu veux, répond-il, monter dans ma charrette, avant demain tu pourras savoir ce que la reine est devenue. »
Là-dessus, il continue d'aller sans attendre un instant le chevalier. Celui-ci tarde un peu, en tout le temps de deux pas, à suivre le conseil. C'est pour son malheur qu'il tarda, pour son malheur qu'il eut honte et s'abstint de sauter aussitôt dans la charrette. Mais Raison, en désaccord avec Amour, l'exhorte à se garder de faire un pareil saut, le sermonne et lui enseigne à ne rien entreprendre où l'opprobre s'attacherait à lui. Raison n'a son séjour que sur les lèvres… Amour est dans le cœur enclos : il donne un ordre et un élan. Bien vite il faut monter dans la charrette. Amour le veut : le chevalier y bondit. Que lui importe la honte, puisque tel est le commandement d'Amour ?
Ce passage est typique du roman courtois, où le chevalier choisira de perdre son honneur plutôt que de devoir renoncer à son amour. Guenièvre tiendra même rigueur à Lancelot d'avoir hésité avant de sauter dans la charrette de honte…
Source Wikipédia
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Message par Richelieu Mar 2 Oct 2007 - 15:03

Armand Jean du Plessis de Richelieu, cardinal, duc et pair de France, ministre de Louis XIII. Né à Paris le 9 septembre 1585, il meurt le 4 décembre 1642.

Il entre en politique et devint secrétaire d’État en 1616 puis cardinal en 1622 et principal ministre de Louis XIII en 1624. Il resta en fonction jusqu'à sa mort, en 1642, le cardinal Jules Mazarin lui succéda.

Le cardinal de Richelieu a été souvent désigné comme Premier ministre. Aussi est-il parfois considéré comme le premier des Premiers ministres que le monde ait connus. Son action englobe aussi bien des dimensions culturelles et religieuses qu'administratives, coloniales, politiques et diplomatiques.

Réputé pour son habileté voire son caractère jugé retors, souvent critiqué pour sa fermeté intransigeante, il fit du concept moderne de raison d'État la clé de voûte de ses méthodes de gouvernement et de sa vision diplomatique et politique. En lutte à l'intérieur contre la noblesse et les protestants, et à l'extérieur contre les Habsbourg, réprimant sévèrement aussi bien les duels meurtriers ou les conspirations nobiliaires que les révoltes antifiscales paysannes, il est considéré comme un fondateur essentiel de l'État moderne en France.
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Message par Clovis 1er Jeu 4 Oct 2007 - 13:18

Clovis Ier (en allemand Chlodwig ou Chlodowech, en latin Chlodovechus) fut roi des Francs de 481 à 511. Issu de la dynastie des Mérovingiens, du nom hypothétique de son grand-père, Mérovée, il est considéré anachroniquement comme le premier roi catholique officiel de France. Le nom de Clovis vient du francique Hlodowig, composé des racines hlod (« renommée », « illustre ») et wig (« combat »), c'est-à-dire « Illustre dans la Bataille », « Illustre au Combat » : il donne en français moderne Louis, prénom de la majorité des rois de France, et en allemand Ludwig, aussi latinisé en Ludovic. Fréquemment utilisée par les Mérovingiens, la racine hlod est aussi à l'origine de noms tels que Clotaire (et Lothaire Lien vers homonymie), Clodomir, ou encore, Clotilde Lien vers homonymie.
Nous connaissons Clovis à travers la longue description de son règne par l'évêque gallo-romain Grégoire de Tours, un proche du pouvoir, et dont l'Histoire, rebaptisée tardivement Histoire des Francs est riche d'enseignements, bien que ce texte à visée d'abord édifiante relève plus de l'hagiographie que d'une conception rigoureuse de l'histoire.
La chronologie du règne de Clovis est très mal connue. Tout ce que nous en savons découle de Grégoire de Tours (Histoire, Livre II), qui mentionne les évènements suivant un découpage en tranches de cinq années réminiscence des quinquennalia ou des lustra romaines : guerre contre Syagrius après cinq années de règne, quinze pour la guerre contre les Alamans, guerre contre les Wisigoths cinq années avant sa mort ; le tout formant un règne de trente ans après un avènement à l'âge de quinze ans. On pourrait rejeter ces informations comme simplificatrices ; or il s'avère qu'aucune étude n'a jamais remis fondamentalement en cause ces indications, qui sont selon toute vraisemblance légèrement simplifiées mais valables à peu de choses près. La seule date fixée par d'autres sources est celle de sa mort, en 511, ce qui daterait son avènement de 481 environ, peut-être 482.
On obtient donc la chronologie suivante :
* 466 : naissance de Clovis, fils de Childéric Ier, roi des Francs saliens de Tournai, et de la reine Basine de Thuringe.
* 481-482 : avènement de Clovis. Le royaume dont il hérite correspond à la Belgique Seconde, petite province située entre la mer du Nord, l'Escaut et le Cambrésis, soit un territoire allant de Reims jusqu'à Amiens et Boulogne, à l'exception de la région de Soissons, qui était quant à elle contrôlée par Syagrius.
* 484 : Alliance avec les Francs rhénans et avec les Francs de Cambrai. (Ragnacaire, roi des Francs de Cambrai, était probablement un des parents de Clovis).
* 485 : Il se marie avec une princesse rhénane, fille de Chloderic prince de Cologne avec laquelle il a un fils, Thierry. Cette union a souvent été interprétée comme l'épisode d'une alliance tactique avec ses voisins orientaux, lui permettant de tourner ses ambitions vers le sud.
* 486 : Bataille de Soissons contre Syagrius. Syagrius, fils de Ægidius, s'intitulait « Roi des Romains » et contrôlait une enclave gallo-romaine entre Meuse et Loire, dernier fragment de l'Empire d'Occident.
La victoire de Soissons permet au royaume de Clovis d'embrasser tout le nord de la Gaule. Syagrius se réfugie chez les Wisigoths qui le livrent à Clovis. Le chef gallo-romain finira discrètement égorgé.
C'est également lors de cette bataille, qu'eut lieu selon Grégoire de Tours l'épisode anecdotique du vase de Soissons où, contre la loi militaire du partage, le roi demanda de soustraire du butin un vase précieux pour le rendre à l'église de Reims, à la demande de l'évêque de cette dernière cité. L'épilogue de l'histoire eut lieu, quant à lui, le 1er mars 487.
* 490 : Raids victorieux contre les Wisigoths : Saintonge en 494, Bordeaux en 498. Clovis a alors probablement le désir d'étendre son royaume vers la Méditerranée. Il entame des offensives contre la Germanie rhénane et transrhénane.
* 493 : Pacte de non-agression avec les rois burgondes, concrétisé par une alliance matrimoniale : Clovis épouse en secondes noces la princesse burgonde Clotilde (fille du roi burgonde Chilpéric II et nièce du roi Gondebaud). Clotilde œuvrera avec l'évêque Remi de Reims à la conversion de Clovis au catholicisme.
* 496 : Bataille de Tolbiac (Zülpich) près de Cologne contre les Alamans lors de laquelle Clovis aurait fait le vœu de se convertir au christianisme si « Jésus que sa femme Clotilde proclame fils de Dieu vivant » lui accordait la victoire. Cette victoire permet au royaume de Clovis de s'étendre jusqu'à la Haute-Rhénanie.
* 496 le jour de Noël le 24 décembre, Clovis est baptisé à Reims avec « plus de 3000 hommes de son armée » (selon Grégoire) par l'évêque Remi de Reims (futur saint Remi). Le baptême de Clovis améliore sans doute sa légitimité dans la population gallo-romaine, mais représente un pari dangereux : les Francs, comme les Germains, considèrent qu'un chef vaut par la protection que lui inspirent les dieux, la conversion va à l'encontre de cela, les Germains christianisés (Goths...) sont souvent ariens, car le roi y reste chef de l'Église.
* 499 : Clovis s'allie au roi burgonde de Genève, Godégisèle, qui veut s'emparer des territoires de son frère Gondebaud.
* 500 : Clovis signe un pacte d'alliance avec les Armoricains (peuplades gauloises de la péninsule bretonne et du rivage de la Manche). Après la bataille de Dijon et sa victoire contre les Burgondes de Gondebaud, Clovis contraint ce dernier à abandonner son royaume et à se réfugier à Avignon. Cependant, le roi wisigoth Alaric II se porte au secours de Gondebaud et persuade ainsi Clovis d'abandonner Godégisèle. Clovis et Gondebaud se réconcilient et signent un pacte d'alliance pour lutter contre les Wisigoths.
* 502 : son fils Thierry épouse 1°) Eustère, fille Alaric II Roi des wisigoths dont il a Thibert 1er Roi de Reims (+548) puis 2°) Swavegothe, fille de Sigismond roi des Burgondes dont il a une fille Theodechilde.
* 507 : bataille de Vouillé, près de Poitiers, contre les Wisigoths : Cette victoire permet au royaume de Clovis de s'étendre en Aquitaine. Le roi des Wisigoths Alaric II est tué et les Wisigoths n'ont d'autre alternative que de se replier en Espagne, au-delà des Pyrénées. Les Ostrogoths de Théodoric ne peuvent intervenir en faveur des Wisigoths en raison d'un conflit avec l’Empire d'Orient.
* 508 : Clovis reçoit de l'empereur d'Orient Anastase Ier le titre de « consul » et est salué comme « auguste » au cours d'une cérémonie à Tours. Paris devient sa résidence principale. La mythologie nationaliste française y voit, de façon anachronique, la première accession au statut de capitale de l'ancienne Lutèce, qui a pris le nom de ses habitants gaulois, les Parisii.
* 510 : Clovis s'empare des royaumes francs de Sigebert, de Chararic et de Ragnacaire après les avoir fait assassiner, et étend ainsi son autorité au-delà du Rhin. Clovis est désormais le maître d'un unique royaume, correspondant à une portion occidentale de l'ancien empire romain, de la moyenne vallée du Rhin, (l'embouchure du Rhin est toujours aux mains des tribus frisonnes), jusqu'aux Pyrénées, tenus par les terribles Basques. Le royaume de Clovis ne comprend toutefois pas l'île de Bretagne (actuelle Grande-Bretagne), ni les régions méditerranéennes.
* Juillet 511 : premier concile des Gaules à Orléans auquel prennent part trente-deux évêques, dont la moitié proviennent du « royaume des Francs » Clovis est désigné « Rex Gloriosissimus fils de la Sainte Église » par tous les évêques présents.
* 27 novembre 511 : Clovis meurt et est enterré dans la basilique des Saints-Apôtres à Paris, sur la montagne Sainte-Geneviève.
A sa suite, les descendants de Clovis étendent encore le royaume (Burgondie, Provence...), et règnent pendant près de trois siècles avant de laisser leur place à une famille de la noblesse franque austrasienne : les Pippinides (Charles Martel, Pépin le Bref...)
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Message par Attila Jeu 4 Oct 2007 - 15:54

Attila (v. 405-453) fut le roi des tribus Huns, peuplade originaire d'une région allant de l'Europe de l'Est aux steppes d'Asie centrale. Selon l'historiographie romaine il régna de 434 à 453 sur l'Empire hunnique (une grande partie de l'Europe centrale et de l'Asie centrale) dont il se fit désigner Europæ Orbator (empereur d'Europe).
Attila naît vers 405. Il est fils du roi d'une tribu Huns, Moundzouk, qui meurt à la guerre en 408. Orphelin, il est adopté et élevé avec son frère aîné Bleda par son oncle, le roi Huns Ruga.
En 434, Ruga partage l'Empire hunnique entre ses deux neveux, Attila et Bleda, avant de mourir. De 435 à 440, le règne de Bleda est marqué par le triomphe des Huns face à l'Empire romain d'Orient. Ce triomphe est avant tout diplomatique et la politique de Bleda à l'égard des Romains est pacifique. Un doublement du tribut versé par l'empire romain d'orient de Constantinople et la promesse impériale de ne plus s'allier aux barbares ennemis des Huns (aux peuples germaniques restés indépendants) laissent les mains libres à Bleda. Aussi les Huns étendent-ils leur empire jusqu'aux Alpes, au Rhin et à la Vistule.
Pourtant, dès 440, profitant de l'occasion qu'offre l'invasion de l'Arménie romaine par les Perses sassanides, invasion qui détourne momentanément l'attention de Constantinople des Huns, Bleda attaque à nouveau l'empire romain d'Orient. À ce moment, Attila n'aide son frère qu'en dernier recours, ayant entamé de son côté des pourparlers avec l'Empire. Il ne le fait sans doute que pour éviter d'être lésé sur le partage du butin.
La politique séparée d'Attila lors de la guerre de 441-442 s'explique principalement par sa volonté de négocier avec les Romains la remise des princes héritiers huns qui s'étaient réfugiés dans l'empire à la mort de Ruga, dès 435. Ceux-ci auraient hérité du royaume en cas de décès de son frère.
Fin 444 ou début 445, aidé par ses vassaux germaniques, Attila fait assassiner son frère ainé Bleda et devient le seul roi des Huns. Deux Germains soumis aux Huns, le roi des Skire Edika et le roi des Gépides Ardaric, fournirent en effet les forces nécessaires pour l'assassinat de Bleda qui eut lieu dans l’ordu de ce dernier.
Son règne dure huit ans et est marqué, à sa mort, par un effondrement de la puissance des Huns, jusque-là patiemment bâtie sur les alliances militaires entre l'empire hunnique et l'empire romain d'Orient et sur la manne financière des tributs et rançons versés par Constantinople.
En réalité, il semble que dès le lendemain de l'assassinat, les alliés germaniques d'Attila aient influencé celui-ci en favorisant la propension qu'il avait de se croire destiné à régner sur l'univers tout entier. Ainsi, avec la collaboration d'une vache et de son gardien, ils trouvent pour Attila l'épée du dieu de la guerre, Mars, pointant hors de terre. Or, dans l'engrenage qui va mener les Huns à acquérir plus de puissance, Attila se trouve rapidement contraint à de nouvelles guerres pour récompenser et surtout garder ses fidèles Germains.
Aussi Attila se fait-il désigner Europæ Orbator (empereur d'Europe) et s'empare-t-il dès 445-446 de la province romaine de Pannonie-Savie (le reste de la Pannonie étant déjà tenu par les Huns). Pour maintenir la fiction de l'administration romaine, il est quand même nommé maître de la milice par l'empereur romain Valentinien III.
A la tête d'une armée coalisée hunno-germanique, Attila se lance au printemps 451 dans une campagne contre la Gaule. Cette armée réunit les peuples Gépides (les plus nombreux), Wisigoths (dirigés par trois rois frères dont le père du futur Théodoric Ier (Théodoric le Grand), Skires, Suèves, Alamans, Hérules, Thuringes, Francs, Burgondes, Alains, Sarmates, elle est majoritairement germanique et les Huns n'en composent qu'une infime partie. Les tactiques qui ont précédemment fait leur succès contre les « civilisés » ne sont donc plus à l'ordre du jour. Le 7 avril, Attila brûle Metz. (invasions barbares)
La Gaule lui résiste, d'abord à Paris sous l'impulsion de sainte Geneviève, puis à Orléans, à l'instigation de saint Aignan d'Orléans avec l'appui des légions romaines de Flavius Aetius.
A Orléans, où il compte franchir la Loire, Attila combat les Wisigoths de Théodoric Ier et les légions romaines de Flavius Aetius, en réalité composées de tous les peuples établis en Gaule à cette époque : Alains, Francs, Burgondes, Sarmates, Saxons, Lètes (colons barbares), Armoricains et même des Bretons venus d'Outre-Manche…
Les Huns sortent vainqueurs et c'est en Champagne que la bataille des champs catalauniques finale a lieu, sans doute moins d'une quinzaine de jours plus tard. Certains auteurs localisent cette bataille à 5 milles romains (7,5 km) de Troyes dans des champs près du village de Maurica ou Mauriacus (latin campus mauriacus). D'autres, plus anciens, la situent près de Châlons-en-Champagne, l'antique Catalaunum d'où dérive le substantif attribué aux « champs catalauniques », à l'emplacement de l'oppidum gaulois de La Cheppe, improprement appelé "le camp d'Attila".
A la suite du carnage, Attila reste un moment en Gaule puis se retire vers le Rhin.
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Message par Louis XIV Jeu 4 Oct 2007 - 19:52

Résumé :
Louis XIV, nommé à sa naissance Louis-Dieudonné et surnommé par la suite le Roi-Soleil ou encore Louis le Grand né a Saint-Germain-en-Laye, le 5 septembre 1638, mort a Versailles, le 1er septembre 1715 est, du 14 mai 1643 jusqu’à sa mort, roi de France et de Navarre, le troisième de la maison de Bourbon de la dynastie capétienne.

Louis XIV, qui a régné pendant 72 ans, est le chef d'État qui a gouverné la France le plus longtemps, et le souverain qui est parvenu à l'âge le plus avancé. Il est aussi le monarque qui a régné le plus longtemps en Europe.

Louis XIV accède au trône quelques mois après son cinquième anniversaire, mais après une minorité très marquée par la révolte de la Fronde (1648-1652), il n’assume personnellement le contrôle du gouvernement qu’à partir de la mort de son Premier ministre, le Cardinal Mazarin, en 1661. Il ne prit jamais de Premier ministre, et accentua encore son rôle direct dans l'État après la mort de ses puissants ministres Colbert (1683) et Louvois (1691). Son règne marqua l'apogée de la construction séculaire d'un absolutisme royal de droit divin. Louis XIV vit son autorité absolue bénéficier de la fin historique des grandes révoltes nobiliaires, parlementaires, protestantes et paysannes, qui marquaient la vie du royaume depuis plus d'un siècle.
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Message par Dagobert 1er Dim 7 Oct 2007 - 10:18

Dagobert Ier (né v. 602/605 – mort le 19 janvier 638 ou 639) était un roi des Francs de la dynastie mérovingienne, fils de Clotaire II, roi des Francs et de Bertrude. Il régna sur l'Austrasie de 623 à 632, et comme Roi des Francs de 629 à 639.
Biographie :
En 623, cédant aux revendications autonomistes des nobles d'Austrasie, son père le nomme roi de ce territoire (amputé néanmoins des régions à l'ouest des Ardennes et des Vosges). C'est à Metz que réside alors Dagobert. Ses tuteurs seront le maire du palais Pépin de Landen et saint Arnoul, évêque de Metz, qui étaient déjà les dirigeants effectifs de la contrée. À sa majorité, échappant à la tutelle, il exige que son père lui restitue les provinces de Brie et de Champagne. Dès le décès de Clotaire II (629), il se fait nommer roi de Bourgogne, puis chasse son frère cadet Caribert II de la Neustrie, lui faisant jurer de renoncer définitivement à la Gaule. Il ne lui laisse pour territoire que le royaume d'Aquitaine, créé pour l'occasion. Quelques années plus tard, le décès de Caribert II lui permet de récupérer l'Aquitaine, reconstituant ainsi le royaume franc tel qu'il était sous le règne de son père. Dès lors, il choisit de quitter l'Austrasie, et de prendre Paris pour capitale, de par sa position géographique au centre du royaume. Il se sépare ensuite de Pépin de Landen, tentant de recouvrer un peu du pouvoir que son père avait laissé aller aux maires du palais. Il choisit alors d'excellents conseillers tels que le chancelier Didier, le référendaire Dadon (canonisé sous le nom de Saint Ouen) et l'orfèvre Eligius (futur saint Eloi). Avec leur aide, il va s'occuper en priorité des affaires intérieures du grand royaume des Francs et son règne va constituer une trève heureuse dans l'anarchie mérovingienne et apporter une paix relative, grâce à sa volonté d'unifier le gouvernement du pays. Il va entreprendre un certain nombre de réformes essentielles :
* Il lutte contre les revendications autonomistes de certaines parties de la noblesse, et continuant l'œuvre entreprise par Clotaire II, il parvient à supprimer la pratique successorale dite de la « patrimonialité » qui fut, à cause des mésententes de partage, génératrice de nombreux conflits.
* Il parvient aussi à réorganiser l'administration et la justice du royaume, et prend l'initiative, sur les conseils de l'ancien orfèvre Éloi, d'éliminer toute la fraude monétaire, en centralisant au palais la frappe de la monnaie.
* Il développe également l'éducation et les arts, et fera de nombreux dons importants au clergé (il fondera entre autres l'abbaye de Saint-Denis qui accueillera son tombeau quelques années plus tard). Il fut en fait le dernier roi mérovingien à diriger personnellement le regnum francorum.
Au niveau politique, Dagobert développe les relations diplomatiques avec les pays voisins : il signe en 631 un traité de « Paix Perpétuelle » avec l'empereur byzantin Héraclius, une alliance avec les Lombards en 632, et un accord en 633 avec les Saxons pour qu'ils l'aident à protéger ses frontières des Slaves de Samo. Il mène également des campagnes militaires, notamment contre les Gascons (638), les Bretons, et surtout les Slaves qui lui résisteront en 632. Mais en 632, la noblesse d'Austrasie se révolte, et pour apaiser les esprits, Dagobert est contraint d'abandonner le royaume d'Austrasie à son fils Sigebert III qui n'a alors que deux ans (il réussit néanmoins à écarter cette fois Pépin de Landen du poste de maire du palais). Ce sont ensuite les nobles de Neustrie qui revendiquent leur rattachement à la Bourgogne; ils exigent et obtiennent que Dagobert rassemble les deux régions, et qu'il place son fils Clovis II à la tête de ce nouveau royaume. A sa mort, ses deux héritiers sont encore très jeunes : Sigebert a huit ans, et Clovis quatre; l'unité de commandement disparaît et les luttes et l'anarchie reprennent, le pouvoir des maires du Palais, va s'accroître au détriment des rois, car ils en profitent pour manipuler les jeunes souverains et s'accaparer définitivement du pouvoir : c'est le début de l'époque dite des Rois fainéants qui marquera la fin de la dynastie mérovingienne. Avant de mourir, le roi Dagobert avait choisi d'être enterré, non à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, comme ses prédécesseurs depuis Childebert Ier en 558, mais à la nouvelle basilique Saint-Denis, sur le lieu où reposait déjà depuis 570, Arégonde, la quatrième épouse de Clotaire Ier.
De Dagobert, dernier roi unique du regnum Francorum, subsiste, le tombeau que fit installer au XIIIe siècle le roi Louis IX.
Dans la culture populaire française, Dagobert est surtout connu au travers de la chanson Bon Roi Dagobert. Celle-ci semble dater de la Révolution française. Selon la légende, Dagobert était tellement distrait qu'il avait l'habitude de mettre ses culottes (ses braies, pantalons) à l'envers. Myope, Dagobert avait l'habitude, selon Wulfram de Strasbourg (VIIIe siècle), de se prendre les pieds dans les tapis et de chuter, sous les regards médusés des témoins. Bon vivant et populaire, il riait bien souvent de sa propre personne. Le respect dû au roi a fait passer sa légendaire distraction pour une simple légende. Cette chanson écrite sur un air de danse dit Fanfare du Cerf n'a pas pour but de transcrire une vérité historique mais plutôt de se moquer du roi Louis XVI connu entre autres pour sa personnalité distraite, et de la reine Marie-Antoinette à travers ce roi ancien et mal connu.
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Message par Henri VIII Jeu 11 Oct 2007 - 14:55


Henri VIII d'Angleterre (28 juin 1491-28 janvier 1547) deuxième fils d'Henri VII d'Angleterre. La mort de son frère Arthur lui permet d'accéder au trône en 1509. Il met alors ses fortes qualités intellectuelles au service de son pays. Il s'applique à entretenir de bonnes relations avec la France et l'Espagne. Il épouse d'ailleurs Catherine d'Aragon, veuve de son frère et tante de Charles Quint, mais demande l'annulement du mariage en 1527 car elle ne lui a pas donné d'héritier mâle vivant.
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Message par Pépin le Bref Jeu 11 Oct 2007 - 19:34


Pépin III, plus connu sous le nom de Pépin le Bref, doit son surnom à sa petite taille. Né vers 715 à Jupille (près de Liège en Belgique, lieu de résidence privilégié d'une bonne partie des souverains de la dynastie des Mérovingiens et des premiers Carolingiens), il est mort le 24 septembre 768 à Saint-Denis (au nord de Paris). Fils cadet de Charles Martel et de Rotrude de Trèves, il fut :
* Maire du palais de Neustrie, (741-751), avec la Bourgogne et la Provence.
* Maire du palais d'Austrasie, (747-751).
* Roi des Francs, (751-768).
* Père de l'empereur Charlemagne, (vers 742-814).
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Message par Knud 1er Dim 14 Oct 2007 - 9:14


Knut II de Danemark ou appelé aussi Knud Ier le Grand, roi de Danemark (à partir de 1014), roi d'Angleterre (1016), et de Norvège (1028).
Fils du roi Sven Ier barbe-fourchue (en danois Svend Tveskæg), qui a aussi la réputation de membre des Vikings de Jomsborg, un ordre militaire de mercenaires basé dans une forteresse se trouvant en Pologne actuelle.
Je suis un grand conquérant et envahisseur Viking.
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Message par François 1er Mar 16 Oct 2007 - 15:21


Présentation:
François Ier (1494 - 1547), dit le père et restaurateur des Lettres, le roi guerrier, le Grand Colas, le Bonhomme Colas ou encore François au Grand Nez, sacré roi de France le 25 janvier 1515 dans la cathédrale de Reims, et règne jusqu'à sa mort en 1547. Fils de Charles d'Angoulême et de Louise de Savoie, il appartient à la branche de Valois-Angoulême de la dynastie capétienne.
Mes titres:
Roi de France (1515 - 1547) comte d'Angoulême, duc de Valois, duc d'Orléans, duc de Romorantin, duc de Milan.
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